Sur le chemin de retour du Maroc (Ouarzazate), les principaux aérodromes par où doit passer Solar Impulse (Rabat et Madrid) ne sont mis à sa disposition que pendant leur couvre-feu (avantage de la propulsion
électrique silencieuse) entre minuit et 6 heures du matin afin d’éviter toute interférence avec le trafic commercial (la vitesse d’éventuels avions de ligne serait incompatible avec celle de Solar Impulse s’ils le suivaient, et si c’était l’avion tout électrique très lent qui passe derrière, il ne supporterait pas la turbulence de sillage des précédents). On doit faire une stricte ségrégation des trafics, expérimental et commercial, d’une part. Mais d’autre part, compte tenu de la météo (force et direction des vents), on n’est pas sûr de
pouvoir faire le dernier trajet Madrid-Payerne (lac de Neuchâtel en Suisse) en une seule étape de 24 heures, d’une nuit à la suivante.
Premier anniversaire d’une grande Première SOLAR IMPULSE à Toulouse
